Avec la baisse des taux de crédit, votre pouvoir d’achat immobilier a augmenté. Faut-il emprunter sur 15, 20 ou 25 ans ? Déléguer l’assurance emprunteur ? Nos conseils pour bien financer votre projet d’acquisition immobilière.
Les taux et les conditions d’emprunt n’ont jamais été aussi favorables.
Alors que, il y a un an, les banques prévoyaient une remontée en 2019, l’inverse se produit, grâce à la poursuite des politiques de taux bas des autorités monétaires américaines et européennes.
De ce fait, les meilleurs dossiers obtiennent, sur vingt ans, un taux de 1,25% et de 1,15% sur quinze ans, indique David Azargang, co-dirigeant d’AKOR2PRAvec la baisse des taux de crédit, votre pouvoir d’achat immobilier a augmenté. Faut-il emprunter sur 15, 20 ou 25 ans ? Déléguer l’assurance emprunteur ? Nos conseils pour bien financer votre projet d’acquisition immobilière.
Les taux et les conditions d’emprunt n’ont jamais été aussi favorables.
Alors que, il y a un an, les banques prévoyaient une remontée en 2019, l’inverse se produit, grâce à la poursuite des politiques de taux bas des autorités monétaires américaines et européennes.
De ce fait, les meilleurs dossiers obtiennent, sur vingt ans, un taux de 1,25% et de 1,15% sur quinze ans, indique David Azargang, co-dirigeant d’AKOR2PRêt Avec la baisse des taux de crédit, votre pouvoir d’achat immobilier a augmenté. Faut-il emprunter sur 15, 20 ou 25 ans ? Déléguer l’assurance emprunteur ? Nos conseils pour bien financer votre projet d’acquisition immobilière.
Les taux et les conditions d’emprunt n’ont jamais été aussi favorables.
Alors que, il y a un an, les banques prévoyaient une remontée en 2019, l’inverse se produit, grâce à la poursuite des politiques de taux bas des autorités monétaires américaines et européennes.
De ce fait, les meilleurs dossiers obtiennent, sur vingt ans, un taux de 1,25% et de 1,15% sur quinze ans, indique David Azargang, co-dirigeant d’AKOR2PRêT.
Toutes durées confondues, le taux moyen des prêts du secteur concurrentiel est tombé sous 1,40% en mars, après 1,44% en février en France comme en décembre dernier, au lieu de 1,48% en février 2018, souligne l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Moins que l’inflation depuis neuf mois.
Bonne nouvelle : il est plus facile d’acquérir un logement qu’il y a dix ans car la baisse des taux a plus que compensé la hausse des prix de ces dix dernières années : En dix ans les épargnants ont augmenté leur pouvoir d’achat dans pratiquement toutes les villes.
Et les épargnants ont tout intérêt à investir dans la pierre à crédit pour s’enrichir grâce à l’effet de levier. ´Le robinet du crédit est grand ouvert. Il reste aux banques une marge moyenne de 0,50 point, tout à fait normale, poursuit Monsieur Azargang qui n’attend pas de remontée significative des taux de crédit dans l’année.
Dix, vingt ou vingt-deux ans ?
La décrue des taux s’est accompagnée d’un allongement notable de la durée des prêts : au mois de février, la durée moyenne atteint 230 mois (plus de 19 ans). En 2018, plus de 30% prêts immobiliers consentis par LCL ont porté sur vingt-cinq ans ou plus.
tirer son prêt permet d’emprunter davantage avec un revenu moindre. ´Aujourd’hui, pour emprunter 150.000 euros sur vingt ans, il faut gagner 2.100 euros nets par mois quand il fallait 3.100 euros il y a dix ans, indique Monsieur Azargang, qui rappelle que les mensualités sont toujours fixées dans la fourchette d’un tiers des revenus nets, en tenant compte aussi de ce qu’il reste pour vivre.
Les apports personnels des emprunteurs n’ont jamais été si bas, note le Crédit Logement.
A noter : En allongeant la durée d’emprunt, le taux peut augmenter entraînant une surcharge de plus de 10.000 euros.
L’assurance emprunteur
Les acquéreurs peuvent substituer une assurance emprunteur moins chère à celle de leur banquier. Avec de grosses économies à la clé.
Ainsi afin d’optimiser la concurrence et la libre consommation des individus, il y a eu trois lois au niveau des assurances emprunteurs en France : la loi Lagarde, la loi Hamon et la loi Bourquin (Sapin 2).
Durant une longue période, les banques ont proposé des assurances emprunteurs dans le cadre de « contrats groupes » leur laissant de confortables marges. Pour rééquilibrer la donne, le législateur (2010) a pris des mesures grâce auxquelles les emprunteurs peuvent troquer leur assurance dans l’année suivant la souscription du prêt. Seconde étape, l’amendement Bourquin (loi du 21 février 2017), a amélioré la donne : les emprunteurs ont désormais la possibilité de changer d’assurance tous les ans.
C’est une aubaine, puisque les crédits de plus de 20 ans sont devenus majoritaires comme a pu nous le montrer l’Observatoire Crédit Logement/CSA, plus haut. Or, plus un crédit est long, plus il revient cher. Récupérer du pouvoir d’achat en faisant périodiquement baisser les primes d’assurance est donc une source d’économie.
Attention : Garder l’assurance de la banque peut être primordial mais faire jouer la concurrence est la maîtrise qu’a le consommateur.
Désormais grâce à la loi Bourquin, chaque année, 2 mois avant l’échéance annuelle du contrat d’assurance ; les emprunteurs peuvent demander un changement d’assurance emprunteur. Pour en savoir plus, contactez nos partenaires Assure&moi !
Photo by William Iven on UnsplashT.
Toutes durées confondues, le taux moyen des prêts du secteur concurrentiel est tombé sous 1,40% en mars, après 1,44% en février en France comme en décembre dernier, au lieu de 1,48% en février 2018, souligne l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Moins que líinflation depuis neuf mois.
Bonne nouvelle : il est plus facile d’acquérir un logement qu’il y a dix ans car la baisse des taux a plus que compensé la hausse des prix de ces dix dernières années : En dix ans les épargnants ont augmenté leur pouvoir d’achat dans pratiquement toutes les villes.
Et les épargnants ont tout intérêt à investir dans la pierre à crédit pour s’enrichir grâce à l’effet de levier. ´Le robinet du crédit est grand ouvert. Il reste aux banques une marge moyenne de 0,50 point, tout à fait normale, poursuit Monsieur Azargang qui n’attend pas de remontée significative des taux de crédit dans l’année.